Le 21 janvier 2025, à l’occasion de la 7e édition de son Merciothon annuel, toute l’équipe de la Fondation CHU Sainte-Justine met son quotidien sur pause, ouvre ses lignes téléphoniques et remercie son exceptionnelle communauté de donateurs.
Prendre le temps de dire merci, parce qu’on ne voit jamais aussi grand qu’ensemble!
Pour l’équipe de la Fondation CHU Sainte-Justine, nouvelle année rime avec gratitude. À l’occasion de notre Merciothon, l’équipe consacre une journée au retour des Fêtes à remercier notre précieuse communauté de donateurs.
Vous avez fait un don en 2024? Prenez soin de garder votre téléphone à portée de main le mardi 21 janvier! De 10 h à 16 h, un maximum de donatrices et de donateurs choisis au hasard seront contactés. Lors de la précédente édition, pas moins de 6717 d’entre vous ont ainsi pu être remerciés.
Dans le feu de l’action de la campagne Voir Grand, vous vous mobilisez autour d’un objectif commun : donner aux équipes de soins et de recherche de Sainte-Justine les moyens de leurs ambitions. Grâce à des gens de cœur comme vous, elles ont le vent dans les voiles. Avec votre soutien, elles perfectionnent l’offre de soins pour les mères et les enfants d’aujourd’hui, et mobilisent les possibilités inouïes de la science pour les patients de demain.
La révolution médicale est enclenchée. Ensemble, permettons à tous les petits de pouvoir grandir en santé.
Vous êtes le pilier qui permet d’oser de si grands objectifs. C’est avec plaisir et gratitude que nous reconnaissons votre apport indispensable à la cause des mères et enfants du Québec.
Au plaisir de vous avoir au bout du fil! ♥
Merci, trois fois plutôt qu’une
Pour les Cloutier-Gosselin, Sainte-Justine est une histoire de famille. Alors qu’Anik travaille déjà au Centre de recherche Azrieli du CHU Sainte-Justine — sur un projet concernant la prématurité — elle donne naissance à Alice, elle-même prématurée. Six ans plus tard, c’est au tour de sa plus jeune de franchir les murs de Sainte-Justine : à deux ans et demi, Charlotte est atteinte de la bactérie mangeuse de chair. Grâce à des gens de cœur comme vous, les deux filles se portent bien aujourd’hui, et Anik poursuit son travail au Centre de recherche. Merci de voir grand pour des familles comme la leur.